Top 15 des voitures les plus étranges de tous les temps
Et si les voitures avaient parfois un grain de folie ? Une bulle en guise de toit, trois roues bancales, un moteur qui ronronne sur l’eau… Certaines autos semblent tout droit sorties d’un rêve farfelu, d’un délire d’ingénieur ou d’un film de science-fiction mal doublé. Pourtant, ces ovnis mécaniques ont bel et bien existé, défiant les conventions avec audace – voire un brin d’absurde assumé.
Dans ce top 15 des voitures les plus étranges de tous les temps, on vous embarque pour un voyage aux confins du bizarre automobile : là où l’innovation flirte avec l’excentricité, où chaque virage réserve une surprise. Bouclez votre ceinture… ou pas, certaines de ces voitures n’en avaient même pas.
Voici donc le Top 15 des voitures les plus étranges 
1 - La Pegaso Z-102 Cúpula
La voiture dôme en français a de quoi laisser les fans perplexes. En 1952, la sportive avait réellement suscité un tel effet. Pourtant en 2015, la marque espagnole remporta avec cette voiture le « prix spécial » d’un concours d’élégance et c’était bien vu de la part du jury : elle est vraiment… spéciale.
La Pegaso Z-102, fabriquée en Espagne par ENASA, est l’un des joyaux oubliés de l’automobile européenne. Ce modèle au design extravagant a été créé à une époque où l’Espagne cherchait à démontrer son savoir-faire technique.
Dotée d’un V8 à double arbre à cames, développant entre 165 et 360 ch selon les versions, la Z-102 était l’une des voitures les plus rapides du monde à son lancement, atteignant jusqu’à 250 km/h.
Le modèle « Cúpula », commandé par le dictateur dominicain Rafael Trujillo, se distingue par son cockpit bulle façon vaisseau spatial. Cette pièce unique a été dessinée par le carrossier espagnol ENASA, influencé par les avions à réaction des années 50.
On ne sait pas trop quoi en penser, elle n’est pas vilaine mais un peu rondouillarde. Ce qui est sûre c’est qu’il y aura bien pire dans ce classement : préparez-vous.
2 - Le Stout Scarab
Premier monovolume de l’histoire automobile, le prototype vit le jour en 1932 et se vendit dès 1934 pour la somme de 5000$ ce qui aujourd’hui vaudrait environ 100 000$. Très clairement, ce gros scarabée est l’ancêtre du minivan : le concept était de créer un véhicule spacieux suffisamment aérodynamique pour ne pas ressentir les effets de la vitesse à l’intérieur si bien que l’on eut pu dîner dedans, avec la table, les chaises, la nappe, les bougies… ce qui classe ce monovolume parmi les 10 voitures étranges.
Imaginé par William Bushnell Stout, ingénieur aéronautique, le Scarab est souvent considéré comme le premier monospace. Il utilisait un châssis ponton, un moteur arrière V8 Ford flathead et offrait un intérieur spacieux sans cloison centrale.
Conçu pour être une « voiture de bureau mobile », son habitacle modulable incluait sièges pivotants et une table. Le Scarab précéda de plusieurs décennies les monospaces modernes comme le Renault Espace.
Bien que révolutionnaire, il ne fut produit qu’à une dizaine d’exemplaires, car jugé trop excentrique et coûteux pour l’époque.
3 - La Flatmobile
Créée par Perry Watkins, cette voiture de collection est la voiture la plus plate du monde (48 cm de hauteur). On n’exagère pas, elle a été conçue uniquement dans ce but : battre le record précédent jusqu’alors détenu par une Fiat.
Inspirée par la Batmobile de 1966, elle est équipée d’un moteur de Fiat 126 modifié et même… d’un petit réacteur à gaz fonctionnel pour l’effet spectaculaire.
Construite comme un projet personnel et de démonstration, elle est homologuée route au Royaume-Uni. Une curiosité technique, plus amusante qu’utilisable !
Le 10 décembre 2012 la Flatmobile fut vendue pour 15 000 dollars. Mis à part les phares trop bas pour rouler de nuit, la voiture reste parfaitement fonctionnelle. Cependant, attention aux dos d’ânes !
4 - La Norman timb special
On dirait une voiture limace. Ce véhicule ancien n’allait « que » jusqu’à 190 km/h – ce qui est rapide pour une limace certes mais pas optimal pour une voiture.
Norman E. Timbs, ingénieur ayant travaillé sur les voitures de course IndyCar, conçut cette voiture comme une œuvre d’art aérodynamique. Son design fluide sans portes, avec moteur arrière Buick Straight-8 de 1948, était visionnaire.
Elle possédait un châssis tubulaire et une carrosserie en aluminium façonnée à la main. La voiture resta oubliée pendant des décennies avant d’être restaurée en 2002… puis détruite dans un incendie en 2018.
Elle incarne l’élégance artisanale de l’automobile d’après-guerre aux États-Unis.
L’ingénieur a été influencé par l’Auto-Union Type C et la Mercedes-Benz W25 Avus des années 1930. Le projet a mis 2 ans à se faire jusqu’à la présentation du modèle en 1947. Le style à l’époque n’avait pas fait l’unanimité et il faudra attendre les années 60’ et le mouvement du pop art pour que la mode ressurgisse. Ce modèle là n’a servi au final qu’à Norman Timb lui-même.
5 - L'œuf
Et elle porte bien son nom. Inventée par le peintre et ingénieur Paul Arzens pendant l’Occupation, cette voiture électrique avait un design ovoïde en plexiglas et aluminium.
Avant-gardiste ce Paul, à une époque où l’essence était rationnée, cette voiture ancienne était un modèle électrique d’une autonomie de 100 kilomètres à 70km/h en moyenne ! Elle ressemble un peu à un hélicoptère échoué qui n’aurait ni queue ni hélice. En tout cas pour l’époque, le design n’avait ni queue ni tête lui. Cette voiture fait donc partie des 10 voitures étranges de tous les temps
6 - La DS mille pattes
Alors on a vu la limace, voici maintenant le mille pattes. Sortie en 1972, et surnommée “La voiture à 10 roues”, cette DS rallongée a été conçue par Michelin pour tester ses pneus à très haute vitesse.
Jamais homologuée route, elle servit exclusivement sur piste pour tester les pneus radiaux destinés à des véhicules de sport ou de compétition.elle est le fruit d’une collaboration entre Citroën et Michelin. En effet, la marque en C choisit de prendre son modèle DS – la déesse – et de la transformer en une créature mythologique recomposée aux roues de colosses. Heureusement, malgré son esthétique douteuse, la voiture était performante avec 2 moteurs V8 de fabrication Chevrolet et 250 chevaux, l’un pour la propulsion, l’autre pour le simulateur de roue centrale. Le châssis était basé sur la DS mais complètement modifié pour supporter le poids et la complexité.
Une vraie chimère.
7 - La Fardier de Cugnot
1769 : tout simplement la première voiture de l’histoire. L’ancêtre à vapeur qui a révolutionné l’industrialisation a vécu ses premiers essais en 1769. Pourtant, avec l’œil d’aujourd’hui on voit bien que le soin a été porté à la mécanique et non au design. Et bonjour l’intoxication quand la fumée arrive en plein visage ! Quel étrange objet ; on n’aurait peut être pas deviné tout seul que c’était un moyen de locomotion à l’époque. A ce jour, elle est conservée au musée des arts et métiers à Paris.
Conçu par l’ingénieur militaire français Nicolas-Joseph Cugnot, ce véhicule à vapeur est reconnu comme le tout premier véhicule automobile autopropulsé. Il visait à transporter des canons pour l’armée française et roulait à environ 4 km/h. Le modèle original en bois et métal possédait une chaudière frontale à vapeur.
8 - L'Hélicron 🥉
Non ce n’est pas une fausse voiture. Ce n’est pas non-plus un jouet pour enfant qui aurait été agrandi. C’est une vraie « voiture ». Ou avion ? L’Hélicron est un modèle avec à l’avant, une hélice d’avion qui lui permet d’avancer. Elle a été imaginée par Marcel Leyat dans les années 20 puis commercialisée en 1932. Cerise sur le gâteau : c’est une voiture française. On a perdu notre « cocorico » soudainement…
Son prototype en bois pesait moins de 300 kg et pouvait atteindre 100 km/h, mais était terriblement instable.
Environ 30 exemplaires furent construits, mais la conduite, jugée trop dangereuse, dissuada toute commercialisation sérieuse.
Après avoir été retrouvée en 2000 sous des débris en France, la voiture ancienne fut rénovée et est actuellement exposée au Lane Motor museum dans le Tennessee aux États-Unis.
9 - La Ferrari Modulo🥈
Cette Ferrari qui en plus d’avoir un nom rigolo ressemble fortement à une navette spatiale. Ce concept-car signé Pininfarina, présenté au Salon de Genève 1970, impressionne encore par ses lignes et sa silhouette ras-du-sol (93 cm).
Basé sur le châssis de la Ferrari 512S de course, le Modulo est équipé d’un V12 5.0 litres développant 550 ch, bien qu’il n’ait jamais réellement été testé à pleine puissance.. Le designer de cette fusée Paolo Martin fut également celui de la Peugeot 104, de la Triumph Spitfire ou encore de la Rolls Royce Camargue.
Que s’est-il passé Paolo ? La voiture reste un des projets oubliés de la marque italienne. Même de nos jours elle semble tout droit sortie d’un film de science fiction. Racheté par le designer James Glickenhaus, le Modulo a été restauré pour rouler brièvement sur route, devenant un OVNI automobile roulant.
10 - La Peel P50 🥇
Officiellement plus petite voiture du monde, cette micro-voiture peut rouler jusqu’à 60km/h. N’ayant qu’une seule place disponible, elle fait plus penser à un gros jouet qu’à une véritable voiture. Conçue pour une seule personne, elle n’avait qu’une porte latérale, un seul phare avant… et pas de marche arrière ! Il fallait la faire pivoter à la main. Et pourtant elle a bel et bien été produite, plus précisément en 1962 et pèse 59kg. Équipée d’un monocylindre DKW de 49 cm³, elle affichait une vitesse de pointe de 60 km/h.
À l’époque, entre 1962 et 1965, on la vendait 199₤. Aujourd’hui, c’est une voiture culte rendue célèbre par Jeremy Clarkson dans Top Gear, et les rares exemplaires s’arrachent aux enchères.
Certains modèles de collection ont pu se revendre aux enchères jusqu’à 176 000$ ! En tout cas, on est séduit par sa toute petite taille qui la rend si mignonne et lui permet d’accéder à la place de ce classement. Ca, et la dégaine du conducteur qui nous fait rire rien qu’à imaginer.
11 - Amphicar Model 770 (1961–1968)
L’Amphicar Model 770, produite entre 1961 et 1968, est une véritable curiosité de l’histoire automobile : mi-voiture, mi-bateau, elle est la seule voiture amphibie de série jamais commercialisée pour le grand public. Conçue par l’ingénieur allemand Hans Trippel, l’Amphicar est propulsée par un moteur Triumph à 4 cylindres de 1 147 cm³ développant 43 chevaux, placé à l’arrière.
Sur route, elle atteint environ 110 km/h, et sur l’eau, elle file à une vitesse maximale de 7 nœuds (environ 12 km/h), d’où son nom « 770 ». Son système de propulsion nautique repose sur deux hélices arrière en plastique, activées via un levier situé à côté du levier de vitesses. Produite à un peu moins de 4 000 exemplaires, principalement exportés vers les États-Unis, l’Amphicar a séduit les amateurs d’engins insolites et reste aujourd’hui une pièce très recherchée. Malgré son allure de décapotable classique des années 60, elle cache une construction renforcée avec une coque étanche en acier et des portes à double joint, permettant une étanchéité suffisante pour les balades aquatiques — à condition d’y croire un peu.
12 - General Motors Firebird XP-21(1953)
La General Motors Firebird XP-21, dévoilée en 1953, n’est pas une voiture au sens traditionnel du terme, mais plutôt un prototype futuriste tout droit sorti de l’imaginaire des ingénieurs de l’ère atomique. Premier modèle d’une série de concepts appelés « Firebird », la XP-21 est directement inspirée de l’aviation militaire, tant par son design que par sa motorisation : elle est équipée d’un véritable moteur à turbine à gaz, le Whirlfire Turbo-Power, capable de délivrer environ 370 chevaux à plus de 13 000 tr/min. Visuellement, elle évoque un jet de chasse, avec son cockpit en bulle, ses ailes stylisées, et sa dérive verticale arrière.
La Firebird XP-21 n’a jamais été destinée à la production ni à la route — elle n’a d’ailleurs ni freins efficaces ni réelle maniabilité — mais elle incarnait la vision d’un futur technologique selon General Motors, à une époque où l’on pensait que les voitures du XXIe siècle voleraient ou rouleraient à turbine. Elle était aussi un outil marketing puissant, exposée lors des célèbres salons « Motorama » pour montrer la supériorité technologique de GM. Aujourd’hui, elle reste une icône de design rétrofuturiste, symbole d’une époque où l’optimisme technologique flirtait avec la science-fiction.
13 - Ford Nucleon (1958)
La Ford Nucleon, présentée en 1958, est sans doute l’un des prototypes les plus audacieux (ou délirants) jamais imaginés par l’industrie automobile. Conçue par les ingénieurs de Ford à l’époque où l’énergie nucléaire fascinait autant qu’elle effrayait, la Nucleon était censée être propulsée… par un réacteur nucléaire miniature. Inspirée des sous-marins atomiques, l’idée était de remplacer le moteur thermique traditionnel par un petit réacteur à fission logé à l’arrière du véhicule, dans une capsule amovible. Grâce à cette technologie, Ford promettait une autonomie de 8 000 kilomètres sans ravitaillement — autant dire un rêve absolu pour l’époque.
Visuellement, la Nucleon est un concentré de design futuriste : ligne basse, pare-brise panoramique, absence de calandre (inutile sans moteur thermique), cockpit avancé au maximum, et un empattement court pour compenser le poids du « réacteur ». Mais bien sûr, aucun prototype fonctionnel n’a jamais été produit. Le concept est resté au stade de maquette à l’échelle 3/8, exposée comme une vitrine de l’optimisme technologique des années 1950. La Nucleon incarne parfaitement cette période où l’on pensait que le nucléaire allait révolutionner tous les aspects de la vie quotidienne, y compris la mobilité. Aujourd’hui, elle est surtout un symbole de science-fiction industrielle, plus proche d’un rêve rétro que d’une réelle avancée technique.
14 - Zagato Zele (1974)
La Zagato Zele, lancée en 1974, est une création étonnante du carrossier italien Zagato, connu pourtant pour ses lignes sportives et élégantes sur base Alfa Romeo ou Aston Martin. Avec la Zele, Zagato prend tout le monde à contre-pied en proposant une microcitadine électrique, bien avant que ce type de véhicule ne devienne tendance. Compacte, cubique et résolument utilitaire, la Zele mesure à peine 2,10 mètres de long et repose sur un châssis Fiat. Elle est mue par un moteur électrique de 0,3 à 0,7 kW (selon la version), alimenté par une batterie au plomb de 48V, lui permettant d’atteindre une vitesse de pointe de 40 km/h pour une autonomie d’environ 80 kilomètres.
Produite à environ 500 exemplaires jusqu’en 1976, la Zele (aussi vendue sous le nom d’Elcar aux États-Unis) se distingue par ses panneaux de carrosserie en fibre de verre, ses portes coulissantes en option, et un habitacle spartiate, mais fonctionnel. À une époque où la crise pétrolière commençait à ébranler les certitudes, elle proposait une réponse alternative à la dépendance aux carburants fossiles — certes rudimentaire, mais visionnaire. Bien que moquée à sa sortie pour son look de boîte à chaussures, la Zele est aujourd’hui perçue comme une pionnière de la mobilité électrique, bien avant Tesla ou même la Renault Zoé. Une perle rare de l’avant-garde écolo signée… Zagato.
15 - Toyota Pod (2001)
La Toyota Pod, présentée en 2001 au salon de Tokyo, est un prototype avant-gardiste né de la collaboration entre Toyota et Sony, bien plus proche du robot de compagnie que de la voiture traditionnelle. Pensée comme une automobile émotionnelle et interactive, la Pod ne se contente pas de transporter : elle ressent, réagit et interagit avec son conducteur. Dotée d’une intelligence artificielle embarquée, elle analyse le comportement de l’utilisateur, reconnaît ses émotions et adapte son humeur grâce à des expressions faciales, des couleurs changeantes sur la carrosserie, ou même des mouvements de l’antenne arrière en forme de queue !
Techniquement, la Pod repose sur une motorisation électrique silencieuse, conçue pour la ville, mais Toyota n’a jamais communiqué de chiffres précis sur ses performances — car l’objectif était ailleurs : explorer la relation homme-machine. L’habitacle est futuriste, épuré, avec des sièges pivotants, un tableau de bord tactile signé Sony, et des commandes vocales. Véritable laboratoire roulant, la Toyota Pod n’a jamais été destinée à la production, mais elle illustre une vision de la voiture comme compagnon empathique, capable d’apprendre les habitudes du conducteur et d’y répondre avec douceur ou enthousiasme.
Avec son design rondouillard et ses airs de jouet, la Pod aurait presque pu sortir d’un film d’animation. Elle reste aujourd’hui un symbole précurseur de la fusion entre mobilité intelligente, connectivité et émotion, bien avant que ces concepts ne deviennent des arguments marketing incontournables.
Bonus: Mention frankenstein
On s’éloigne un peu de la voiture pour parler du projet de J. Dennis McGuire avec cet admirable / épouvantable ChamRockAway Camper 8×2, assemblage de deux break Buick de 1962 qui n’avaient rien demandé.
Le camper a sillonné les routes des USA jusque dans les années 1990 et a été remisé à la mort de son propriétaire puis s’est transformé lentement en dentelle faute d’entretien.
Bonus: Mention honorable
Wedrivit décerne une mention honorable à la Nissan S Cargo. Cette petite fourgonette des années 80-90 qui a essayé de proposer une 2CV en mode camion. C’était un concept mais le résultat est assez particulier. La voiture est proposée uniquement avec des courbes rondes qui lui donnent un air de cartoon. Même la petite fenêtre à l’arrière est ronde…
Que vous soyez fasciné par les voitures ovnis comme la Toyota Pod ou nostalgique des microcars audacieux des années 50, ces modèles insolites témoignent d’un esprit d’innovation et de liberté qu’on ne retrouve plus guère aujourd’hui. Pourtant, l’âme de ces véhicules singuliers continue de vibrer à travers les voitures de collection disponibles chez Wedrivit.
Chez Wedrivit, vous ne trouverez peut-être pas une voiture à réacteur ou amphibie… mais vous découvrirez une sélection unique de véhicules de caractère. Des classiques intemporels comme la Citroën DS, la Porsche 911 ou encore la Mustang Fastback, jusqu’aux cabriolets anglais pleins de charme, nous avons de quoi ravir les amateurs de conduite authentique et d’esthétique vintage.
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