ZFE et Voiture de collection: le dossier complet 2025

ZFE et Voiture de collection: le dossier complet 2025

3 juillet 2025 0 Par Hubert De Villeneuve

Depuis plusieurs années, la lutte contre la pollution de l’air en milieu urbain s’est traduite en France par la mise en place progressive des Zones à Faibles Émissions (ZFE). Ces dispositifs visent à limiter la circulation des véhicules les plus polluantsafin d’améliorer la qualité de l’air et la santé publique.

Pour classer les véhicules selon leur impact environnemental, la vignette Crit’Air a été instaurée, définissant des catégories allant des véhicules électriques aux plus anciens et polluants.

Si ces mesures répondent à un enjeu crucial, elles posent des questions spécifiques aux propriétaires de voitures anciennes, notamment ceux de véhicules de collection.

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Une réponse à un problème de santé publique

Les ZFE et la vignette Crit’Air sont des dispositifs mis en place pour répondre à un enjeu sanitaire majeur : la pollution de l’air. En France, la pollution atmosphérique est responsable de plusieurs dizaines de milliers de morts prématurées chaque année, principalement en raison des particules fines et du dioxyde d’azote émis par le trafic routier. Dans les grandes agglomérations, les transports représentent l’un des principaux postes d’émissions polluantes. Face à ce constat, les autorités ont progressivement mis en place des outils réglementaires pour limiter la circulation des véhicules les plus polluants.

La création de la vignette Crit’Air (2016)

La vignette Crit’Air, officiellement appelée « certificat qualité de l’air », est instaurée par un arrêté du 29 juin 2016. Elle a pour objectif de classifier les véhicules en fonction de leur niveau de pollution. Le classement s’appuie sur la norme Euro (déterminée à la date de mise en circulation) et le type de motorisation (essence, diesel, électrique, etc.). Il existe six vignettes Crit’Air, de 0 (véhicules électriques ou à hydrogène) à 5 (véhicules diesel très anciens), ainsi qu’une catégorie « non classé » pour les véhicules immatriculés avant 1997 qui ne peuvent pas recevoir de vignette. La vignette permet aux collectivités d’appliquer des restrictions différenciées selon le type de véhicule, notamment en cas de pic de pollution.

L’expérimentation des premières ZFE (2017-2019)

En parallèle, la France commence à expérimenter les premières Zones à Faibles Émissions. Une ZFE est un périmètre défini dans lequel la circulation des véhicules est restreinte selon leur classe Crit’Air. Paris est pionnière, avec une politique de restriction progressive depuis 2017. D’autres agglomérations comme Lyon, Grenoble ou Strasbourg suivent. À ce stade, l’instauration des ZFE relève d’une démarche volontaire des collectivités, sans obligation nationale.

La généralisation des ZFE avec la loi LOM (2019)

La loi d’orientation des mobilités (LOM), promulguée en décembre 2019, change la donne en inscrivant les ZFE dans un cadre juridique plus large. Elle prévoit que les collectivités puissent créer des ZFE-m (Zones à Faibles Émissions – mobilité) pour lutter contre la pollution de l’air. C’est également à partir de ce moment que les premières incitations financières (bonus écologique, prime à la conversion) sont articulées avec ces mesures, afin d’aider les ménages à renouveler leur véhicule.

Un tournant avec la loi Climat et Résilience (2021)

La loi Climat et Résilience d’août 2021 impose une obligation : toutes les agglomérations de plus de 150 000 habitants doivent instaurer une ZFE d’ici à fin 2024. Cela concerne 43 métropoles françaises. La loi prévoit également un calendrier indicatif de restriction progressive :

 

  • Interdiction des véhicules Crit’Air 5 au plus tard en 2023
  • Crit’Air 4 au plus tard en 2024
  • Crit’Air 3 entre 2025 et 2027, selon les niveaux de pollution des zones concernées

 

Cette loi introduit aussi des dispositifs de contrôle et un pouvoir accru pour les préfets en cas de non-conformité.

Une mise en œuvre différenciée et contestée (2023-2024)

Dans les faits, l’application des ZFE se heurte à des difficultés pratiques et sociales. Plusieurs collectivités, comme Strasbourg, Toulouse ou Rouen, ralentissent ou revoient leur calendrier de restriction face à la pression populaire et à la crainte d’exclusion des ménages modestes. Le coût de renouvellement des véhicules, l’absence d’alternatives en transports publics, et la complexité des dérogations alimentent les critiques. En 2023, l’État commence à revoir sa position et adopte un ton plus conciliant, privilégiant des trajectoires adaptées aux réalités locales plutôt qu’un cadre uniforme et rigide.

La situation sur les ZFE en juillet 2025

Début 2025, face à la contestation croissante et aux difficultés de mise en œuvre, le gouvernement a engagé un réajustement politique majeur des ZFE. Plusieurs agglomérations prévoyaient d’interdire les véhicules Crit’Air 3 dès le 1er janvier 2025, mais ce calendrier a été partiellement suspendu ou assoupli. Ces changements ont donné lieu à des ajustements législatifs et réglementaires, officialisés par voie de décrets, circulaires et modifications de la doctrine d’application.

En juillet 2025, une dizaine de grandes métropoles ont effectivement instauré des ZFE actives. Les véhicules Crit’Air 5 et 4 y sont majoritairement interdits, bien que les restrictions sur les Crit’Air 3 soient parfois reportées. Paris reste l’agglomération la plus stricte, ayant engagé dès 2024 l’exclusion des véhicules Crit’Air 3 dans l’intra-muros.

La situation reste contrastée d’une ville à l’autre. Certaines agglomérations ont reporté leurs échéances en raison d’une pollution modérée ou d’un rejet social trop fort. D’autres ont introduit des dérogations temporaires, notamment pour les professionnels, les habitants de la zone ou les véhicules de collection.

Suppression de l’obligation stricte de calendrier national

Initialement, la loi Climat et Résilience de 2021 imposait un calendrier rigide pour interdire progressivement les Crit’Air 5, 4 puis 3 dans les ZFE. En 2025, ce principe a été abandonné au profit d’une logique locale.

Ce qui change :

  • Les collectivités ont désormais la liberté d’adapter leur calendrier d’interdictions selon leur niveau réel de pollution, mesuré par des indicateurs sanitaires validés (NO₂, particules fines).
  • Les ZFE sont maintenues, mais leur contenu devient flexible : certaines agglomérations peuvent décider de geler ou reporter l’interdiction des Crit’Air 3, voire de maintenir temporairement les Crit’Air 4.

Introduction d’un seuil national de pollution déclencheur

En 2025, un nouveau critère déclencheur a été introduit pour déterminer si une métropole doit obligatoirement interdire les véhicules Crit’Air 3 :

Seules les agglomérations qui dépassent régulièrement les seuils réglementaires de qualité de l’air (notamment le NO₂) sont contraintes d’interdire les Crit’Air 3.

Ce changement rompt avec la logique précédente, qui s’appliquait à toutes les agglomérations de plus de 150 000 habitants, quelle que soit leur pollution.

Renforcement des dérogations et prise en compte des cas particuliers

En 2025, de nouvelles dérogations nationales ont été introduites ou généralisées, pour assouplir les effets des ZFE sur les usagers les plus touchés.

  • Dérogations pour les conducteurs à faibles revenus, dans le cadre d’un barème social élargi.
  • Dérogations élargies pour les véhicules professionnels, en particulier les artisans, indépendants ou professions médicales.
  • Reconnaissance plus claire du statut de « véhicule de collection » (carte grise collection) dans les arrêtés types.

Mise en place d’un « droit à la transition »

Le gouvernement a introduit en 2025 une logique de « droit à la transition ». Aucune interdiction ne peut s’appliquer à un automobiliste n’ayant pas accès à une alternative crédible (transports en commun, aides à la conversion, véhicule de remplacement).

Cela impose aux collectivités d’intégrer une dimension sociale dans leurs arrêtés ZFE : évaluation de l’offre de mobilité, accessibilité des aides, existence d’alternatives.

Nouvelle cartographie et plateforme centralisée

En parallèle des mesures législatives, l’État a lancé en 2025 une plateforme nationale ZFE mise à jour en temps réel, indiquant :

  • Les règles en vigueur ville par ville
  • Les véhicules concernés ou exemptés
  • Les démarches de dérogation
  • L’accès aux aides disponibles
  • Cela vise à simplifier la compréhension pour les usagers et éviter les mauvaises surprises lors de déplacements interurbains.

Impact sur les collectivités locales

Les agglomérations conservent le droit de restreindre plus strictement que le seuil national, mais doivent désormais:

  • Motiver leurs décisions sur la base de données sanitaires
  • Proposer des mesures d’accompagnement crédibles
  • Prévoir une phase transitoire avec information préalable

Le rôle du préfet reste renforcé : il peut contraindre une collectivité à agir si les seuils de pollution sont dépassés, mais aussi suspendre une mesure jugée inadaptée ou injuste.

zones de déploiement zfe 2025

restriction zfe carte 2025

ZFE et vehicules de collection

En juillet 2025, la législation française sur les ZFE (Zones à Faibles Émissions) et les voitures de collection repose sur un équilibre entre les objectifs environnementaux et la préservation du patrimoine roulant. 

Les véhicules de collection bénéficient d’un traitement spécifique dans le cadre des ZFE. Ce statut repose sur une base juridique nationale mais avec une application locale :

Reconnaissance légale du statut « collection »

Le statut de véhicule de collection est défini à l’article R.311-1 du Code de la route. Pour l’obtenir, le véhicule doit :

  • Avoir plus de 30 ans
  • Ne plus être produit
  • Être conservé dans son état d’origine (ou proche)
  • Être immatriculé avec la mention « véhicule de collection »
  • Ce statut permet certains assouplissements réglementaires (contrôle technique allégé, plaques spécifiques, usage non intensif), mais il ne donne pas automatiquement le droit de circuler en ZFE.

Pas de dérogation nationale automatique

Contrairement à certaines idées reçues, aucun texte national ne prévoit de manière automatique l’exemption des véhicules de collection dans toutes les ZFE.

En revanche, chaque ville ou métropole peut accorder une dérogation locale aux véhicules immatriculés en « collection ». C’est souvent le cas, notamment à :

  • Paris
  • Bordeaux
  • Lyon
  • Strasbourg
  • Rouen
  • Grenoble

Les dérogations sont généralement limitées, à un usage non quotidien, aux véhicules strictement de collection (pas les véhicules anciens en usage régulier) et parfois sur présentation d’une carte grise collection, parfois via une demande spécifique.

Le rôle des arrêtés municipaux ou intercommunaux

  • La dérogation éventuelle est prévue dans les arrêtés locaux qui définissent les modalités de chaque ZFE. Ces textes précisent :
  • Les véhicules concernés par les interdictions
  • Les exceptions accordées (professionnels, résidents, collection, etc.)
  • Les éventuelles démarches à effectuer (enregistrement préalable, macaron, justificatifs…)

Il est donc indispensable de se renseigner localement, auprès de la mairie, de la métropole ou sur les sites officiels.

Tendances sur les ZFE et les véhicules de collection en 2025

La tendance générale en 2025 est à la tolérance encadrée vis-à-vis des véhicules de collection, perçus comme un patrimoine culturel, à condition qu’ils ne soient pas utilisés quotidiennement.

Les associations de collectionneurs et la FFVE (Fédération française des véhicules d’époque) ont obtenu un certain niveau de reconnaissance, mais la sécurité juridique reste imparfaite, car chaque collectivité garde la main.

Questions des propriétaires de voitures de collection

1. Ma voiture de collection est-elle automatiquement exemptée des restrictions en ZFE ?

Non, le statut de véhicule de collection ne garantit pas automatiquement une exemption nationale. Chaque ZFE décide localement d’accorder ou non des dérogations aux véhicules de collection.

2. Une carte grise « véhicule de collection » suffit-elle pour circuler librement en ZFE ?

Pas toujours. Cette carte est souvent une condition nécessaire pour obtenir une dérogation, mais il faut vérifier les règles propres à chaque zone. Certaines collectivités demandent une démarche spécifique.

3. Dois-je faire une démarche spécifique ou une demande de dérogation pour circuler dans une ZFE ?

Oui. Dans la plupart des cas, il faut s’enregistrer ou demander une autorisation auprès de la mairie ou de la métropole concernée. Certaines ZFE exigent une preuve du statut collection et une déclaration d’usage.

4. Les dérogations pour véhicules de collection sont-elles décidées au niveau national ou local ?

Elles sont décidées au niveau local. Les règles varient d’une ville à l’autre selon les arrêtés municipaux ou préfectoraux en vigueur.

5. Comment connaître les règles et dérogations applicables aux voitures de collection dans chaque ZFE ?

Le plus sûr est de consulter les sites officiels des métropoles concernées, ou la plateforme nationale certificat-air.gouv.fr qui centralise ces informations.

6. Existe-t-il une liste officielle des villes qui accordent des dérogations aux voitures de collection ?

Il n’existe pas de liste nationale exhaustive. En général, les grandes métropoles comme Paris, Lyon, Strasbourg ou Grenoble accordent des dérogations, mais cela peut évoluer.

7. Ma voiture de collection doit-elle obligatoirement porter une vignette Crit’Air pour circuler ?

En principe, oui. La vignette Crit’Air est obligatoire dans toutes les ZFE, y compris pour les véhicules de collection, sauf exception prévue par la collectivité.

8. Que se passe-t-il si ma voiture de collection n’est pas classée ou n’a pas de vignette Crit’Air ?

Dans ce cas, elle est généralement considérée comme non conforme et peut être interdite de circulation dans la ZFE, sauf si une dérogation locale la couvre.

9. Les dérogations pour véhicules de collection sont-elles limitées dans le temps ou pour un usage particulier ?

Souvent oui. Elles peuvent être temporaires, et/ou limitées à un usage non professionnel et occasionnel (balades, événements, expositions).

10. Puis-je utiliser ma voiture de collection au quotidien dans une ZFE ou seulement pour des usages occasionnels ?

La plupart des dérogations imposent un usage occasionnel, pas un usage quotidien. L’objectif est de limiter les émissions tout en préservant le patrimoine.

11. Les associations ou fédérations de véhicules anciens peuvent-elles m’aider à obtenir une dérogation ?

Oui. La FFVE (Fédération Française des Véhicules d’Époque) et d’autres clubs proposent souvent des guides, des démarches types et un accompagnement pour les propriétaires.

12. Quelles démarches administratives faut-il réaliser pour être en règle dans une ZFE avec un véhicule de collection ?

  • Posséder la carte grise collection
  • Commander et apposer la vignette Crit’Air
  • Faire une demande de dérogation locale (formulaire, justificatifs)
  • Respecter les conditions d’usage définies

13. En cas de contrôle, quels documents dois-je présenter ?

La carte grise collection, la vignette Crit’Air, et l’attestation ou l’autorisation de dérogation délivrée par la collectivité.

14. Les règles sont-elles les mêmes dans toutes les ZFE françaises pour les voitures de collection ?

Non, elles varient fortement selon les villes, leurs politiques locales, leur niveau de pollution et la pression sociale.

15. Si je circule dans plusieurs agglomérations, dois-je demander une dérogation pour chaque ZFE ?

Oui, chaque ZFE gère ses propres règles. Il faut donc vérifier les conditions et, si nécessaire, faire les démarches dans chaque zone où vous comptez circuler.

16. Est-ce que les ZFE risquent d’interdire à terme les voitures de collection, malgré les dérogations actuelles ?

Pour l’instant, la tendance est à la préservation du patrimoine roulant via des dérogations, mais rien n’est figé. Il faut rester informé des évolutions locales et nationales.

17. Quels sont les risques (amendes, sanctions) si je circule sans dérogation dans une ZFE ?

Les contrevenants s’exposent à des amendes (de l’ordre de 68 à 135 € selon la catégorie du véhicule et la zone), ainsi qu’à la saisie éventuelle du véhicule en cas de récidive.

18. Existe-t-il des aides ou dispositifs pour préserver l’accès des véhicules de collection en ville ?

Pas spécifiquement, mais des aides à la conversion existent pour les véhicules modernes. Pour les collections, la préservation passe surtout par les dérogations locales.

19. Comment anticiper les évolutions législatives futures concernant les voitures de collection et les ZFE ?

En suivant les communiqués officiels, en restant membre d’associations spécialisées et en consultant régulièrement les sites gouvernementaux et des collectivités.

20. Est-ce que ces restrictions vont faire baisser la valeur de ma voiture ?

Pour les voitures anciennes classées en véhicule de collection, la valeur reste généralement stable voire augmente, car elles sont perçues comme des objets patrimoniaux et de passion. En revanche, les véhicules anciens non classés collection peuvent voir leur valeur baisser, surtout s’ils sont interdits dans les centres-villes où la demande est forte.

21. Les voitures anciennes vont-elles devenir invendables en ville ?

Non, les voitures de collection restent prisées, notamment pour des usages spécifiques (loisirs, exposition, événements). Les restrictions peuvent compliquer la circulation quotidienne, mais elles ne rendent pas les voitures anciennes invendables. La clé est souvent la conservation du statut collection et le respect des règles locales.

22. Est-ce que les événements, rassemblements ou locations seront impactés ?

Les événements et rassemblements dédiés aux véhicules anciens sont généralement exempts de restrictions ou bénéficient de dérogations. Cependant, pour les locations (mariages, tournages), il faut vérifier les règles locales. Dans certaines grandes villes, la location de voitures anciennes est toujours possible grâce aux dérogations spécifiques, mais cela nécessite souvent des démarches administratives.

22. Pourrai-je encore louer ma voiture pour des mariages ou tournages dans les grandes villes ?

Oui, dans la plupart des cas. Les véhicules de collection bénéficient souvent de dérogations pour ces usages occasionnels. Il est important d’informer les autorités locales et d’obtenir, si nécessaire, les autorisations ou macaron ZFE correspondants.

23. Est-ce que les assurances tiennent compte des restrictions ZFE ?

En général, les assurances ne modifient pas les garanties en fonction des restrictions ZFE, mais il est recommandé de les informer des usages de la voiture, notamment si elle circule en ZFE sous dérogation. Certaines polices peuvent inclure des clauses spécifiques liées à l’usage limité ou aux conditions de circulation.

Infographie ZFE véhicule collection

Conclusion

Face à ces évolutions réglementaires, il est essentiel pour les propriétaires de voitures de collection de bien comprendre les règles en vigueur et d’anticiper les démarches nécessaires.

Si le statut de véhicule de collection offre souvent des dérogations, celles-ci sont décidées au niveau local et peuvent varier considérablement d’une ZFE à une autre.

La vigilance, la recherche d’informations fiables auprès des autorités locales et l’accompagnement par les fédérations spécialisées sont des clés pour continuer à profiter sereinement de son véhicule ancien, tout en respectant les impératifs environnementaux.

Enfin, il restez attentif aux évolutions législatives, les règles sont amenées à évoluer encore concernant  les conditions d’accès des véhicules historiques dans nos centres-villes. C’est aussi pour cela qu’il est important de rester mobilisé auprès des différentes associations de défense du patrimoine roulant pour être certain de pouvoir continuer à faire rouler nos anciennes !